Le Trieux, moulins, ponts, eau
- Présentation du Trieux (pdf)
- Le Trieux dans la ville
- Au long du Trieux
- Le vue sur le Trieux, Traouzac’h
- Les tanneurs à Guingamp
- Les moulins de Guingamp en 1806
- Lithographie de Clerget : le Trieux et la basilique en 1860
- Le Petit Trotrieux (Trotrieux Lambert)
- Le Grand Trotrieux (Tour Quellenic devenu Grand Trotrieux)
- Saint-Michel
- La rue Saint-Yves
- Saint-Sauveur
- Sainte-Croix
- La plage du petit Lourdes (Roudourou)
- Guingamp « préfecture » ?
Le Trieux fut longtemps la seule source d’énergie utilisée grâce aux moulins placés tout au long de son parcours 1. Pour Guingamp et ses faubourgs, on en comptait dix, de Sainte-Croix à Pont-Ezer. L’eau, elle-même, est indispensable pour bien des activités artisanales : tannerie, teinturerie, travail du fer ou autres métaux, etc., sans parler des indispensables lavoirs…
Si on commence au Moulin-à-Fouler, on compte ensuite un autre (moulin Homo, devenu plus tard une scierie), deux à Sainte-Croix, celui des Salles, celui au duc (devenu « de la ville »), deux à Saint-Sauveur, celui de la Tourelle puis un dernier moulin à tan avant Pont-Ezer.
Nous allons redescendre le cours du Trieux afin de voir quelles activités étaient installées sur sa rive droite (la seule « guingampaise » jusqu’à la Révolution) puis nous y ajouterons celles développées sur la rive gauche devenue elle aussi partie intégrante de Guingamp avec l’entrée du quartier Saint-Michel dans l’agglomération.